La psychologie transgénérationnelle

Un autre regard sur vous même

Vous pouvez vous poser quelques questions comme… « Choisit-on un métier au hasard ? Est-ce que je connais bien mon histoire familiale ? Les unions restent-elles aujourd’hui déterminées. Quels serons les prénoms adaptés pour mes enfants ? L’argent détermine-t-il la place dans ma famille ? D’où nous vient notre système de croyances ? »

Un travail transgénérationnel approfondira celles qui sont associées à une souffrance, à un poids, à des répétitions non-désirées, aux secrets de famille. Notre groupe familial est un être vivant. Il a son imaginaire, son inconscient. Les syndromes d’anniversaires sont universellement connus. Nous ne sommes pas seulement l’enfant d’un père et d’une mère Notre action, parfois notre mission, est déterminée aussi par un groupe d’hommes et de femmes, un groupe social à géométrie variable en fait, ce sont nos ancêtres, leur collatéraux, leurs proches par le cœur. Le groupe familial est un vaste réseau de liens symboliques. Notre histoire familiale est riche. 

Image de psychologie transgénérationnelle Tamara Lorenzon

L’arbre est vivant, l’arbre généalogique aussi ! Les secrets de famille anciens sont-ils encore aujourd’hui agissants ? Comment la transmission intervient-elle ? Pourquoi se passe-t-il « des choses » aux dates anniversaires ? Lever le secret peut-il vraiment rompre la fatalité ? Oui car la marmite généalogique brasse tous les ingrédients anciens, recuits à la mode des générations récentes. La sauce des transmissions donne à l’expression transgénérationnelle un goût différent pour chacun. Les liens électifs du couple créent chaque embranchement de notre arbre familial. Les filiations invoquent nos origines.

« Intégrez en pleine conscience que le caché ne soit plus caché. »

La psychogénéalogie

La psychogénéalogie rétablit un lien fécond entre psychologie et généalogie. Pourquoi parler de thérapie de l’arbre familial ? Lors de nos premiers contacts revient souvent cette réflexion : « j’ai l’impression que ce je vis n’est pas moi ». C’est par moment une impression de vie par procuration. Cette vie est la mienne sans m’appartenir. Là commence le travail du psycho généalogiste, tout ce travail de transcription, de mise en relation, de liens et d’éclairage. Exemple : pourquoi ai-je fait ceci ou cela alors que ce n’est pas mon inclination naturelle. Je commence à découvrir une notion, celle de loyauté familiale. Mais la loyauté de qui ? La mienne ou celle d’un ou une autre ? Je continue à explorer. Comment ce fait s’est-il créé ? Consciemment nous connaissons notre histoire sur 2 ou 3 générations, oubliant que si nous allons chercher dans les membres de notre famille et en le demandant nous pouvons connaitre 4 ou 5 générations. De plus nous créerons ou recréerons du lien. L’ombre deviendra peu à peu lumière, le silence parole. 

C’est une des grandes forces du travail de l’arbre généalogique. Dans ce sens on peut parler de thérapie de l’arbre familial ou thérapie de la généalogie Il y a toujours aussi les « j’ai entendu, enfant, dire que… » que nous avons oubliés. Tous ces faits remontent en psycho généalogie, lentement, à leur rythme, histoire de préparer le conscient.

La psychogénéalogie n’est pas non plus l’Alpha et l’Omega d’un travail thérapeutique. Elle y participe, elle n’est qu’un des outils. Le but n’est de dire « C’est de la faute de mes ancêtres ». La fin est d’intégrer entièrement et complètement mes ancêtres à moi-même. Pouvoir transmettre tout ce qui fut heureux, bonheur, réussite. Expliciter tout cela, nous en libérer et libérer notre descendance afin que chacun puisse poursuivre sa voie en toute liberté.

Le décodage biologique

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